DIMANCHE 19 JANVIER 17H – SORTIE DE RÉSIDENCE / CASABLANCA DRIVERS

Les Casablanca Drivers se sont formés à l’université de Corti en 2010. Depuis, ils sont restés fidèles et ont sorti trois EP et un album, tous auto produits. Leurs styles au départ rock garage a évolué au fil des enregistrement vers une pop mature beaucoup plus accessible.
Aujourd’hui ils s’apprêtent à sortir un deuxième album « Tabloids » enregistré et mixé par Max Robert Baby et NIT (Corentin Kerdraon) qui, dans la lignée du précédent, entend bousculer les codes de la pop. Leur recherche sonore commence dans les home studios qu’ils se sont faits, véritable collection de synthétiseurs rétros, de boites à rythmes rares et d’instruments en tout genre. En confrontant leurs influences rock aux sonorités modernes et inattendues des machines, le groupe a réussi à acquérir leur propre touche.

De quintet, les Casablanca Drivers se sont transformés en trio. Les ajacciens Nicolas Paoletti et Alexandre Diani, membres fondateurs, sont tous les deux chanteurs, guitaristes et clavieristes dans la formation actuelle du groupe. Ils ont appris à jouer, écrire et composer ensemble, une évolution commune qui se sent dans le son des Casablanca Drivers.

Le troisième membre, le bastiais David Assolo, est depuis le deuxième EP le bassiste du groupe. Il s’est adapté à l’évolution du projet et fait aujourd’hui figure de technicien du son pour le montage des concerts, par sa maitrise des effets et de la MAO.

Après avoir enregistré leurs nouveaux titres avec Max Robert Baby (artiste, ingénieur, producteur qui a collaboré avec Clara Luciani, Ichon ou Christal Muray), ils se sont accompagnés de NIT (Corentin Kedraon), artiste électro et musicien de scène (Sebastien Tellier, Juliette Armanet) pour la deuxième partie de leur prochain album qui prend une tournure plus électronique et paradoxalement plus organique à la fois.

Pour la partie live, le groupe fait appel à Jerome Henry, ingénieur du son live d’artistes comme les Naive New Beaters ou encore Jok’air. Lors de résidences régulières, ils réfléchissent ensemble aux moyens de faire vivre un concert assisté par les machines, et de leur donner la chaleur et la musicalité d’un groupe de rock.